Tes messages sur WhatsApp pourront s’autodétruire au bout de 7 jours

WhatsApp va déployer d’ici un mois une fonctionnalité de messages temporaires. Une option qu’il faudra activer pour chaque conversation.

La plateforme de messagerie instantanée WhatsApp va proposer une nouvelle option « messages temporaires » pour faire le ménage dans les messages envoyés.

« Lorsque les messages temporaires sont activés, les nouveaux messages envoyés dans une discussion disparaîtront au bout de sept jours, permettant à la conversation de conserver un caractère plus léger et privé », a annoncé la filiale de Facebook dans un post sur son blog.

La fonctionnalité comporte tout de même des subtilités à garder en tête avant de s’épancher sur WhatsApp ou d’envoyer une blague limite.

Photos et vidéos disparaîtront aussi

Si tu réponds à un message temporaire, le texte cité pourrait lui rester dans la discussion passée une semaine. Et quand un message éphémère est transféré dans une discussion où l’option est désactivée, le message ne disparaîtra pas au bout de 7 jours de cette discussion.

Cette option d’autodestruction contrôlée concerne aussi les médias comme les photos ou les vidéos qui seront toutefois conservés si tu as opté pour le téléchargement automatique dans « Réglages », « Discussions », « Enregistrer dans la pellicule ».

La messagerie utilisée par près de 2 milliards de personnes précise que « dans les discussions individuelles, chacune des deux personnes y participant pourra activer ou désactiver les messages temporaires. Dans les groupes, ce sont les administrateurs du groupe qui en détiendront le contrôle ».

NDLR: Dès que cette fonctionnalité sera disponible, l’École de la pomme ne  manquera pas de te proposer une marche à suivre dans ses trucs et astuces.

Après avoir déployé cette option sur Messenger, le groupe Facebook l’applique donc à son service incontournable de message. Il s’inspire de l’atout principal de son concurrent Snapchat, roi du message éphémère. Objectif: éviter d’être ringardisé trop rapidement auprès de jeunes déjà captivés par « Snap » et TikTok.

Source: Le Parisien