Test high-tech météo: petite digression connectée avec Netatmo!

La base: capteurs intérieur, extérieur, anénomètre et pluviomètre.

J’ai hésité pendant des années en peinant avec différentes solutions alternatives du marché, moins chères et plus sommaires, avant de craquer. Grâce à un bon que l’on m’a offert valable dans un grand-magasin de la place, j’ai mis en service une station météo complète Netatmo, la célèbre solution connectée. Petit test amusé!

Ni une ni deux, j’ai connecté à l’unité centrale deux capteurs intérieurs, un capteur extérieur, un pluviomètre et un anémomètre. À quoi bon me diront d’aucuns puisque le réseau Netatmo est tellement étendu qu’il m’était presque possible de connaître les valeurs sur mon balcon. Presque…

Une foison de valeurs en direct

En fait, ce qui fait l’intérêt de Netatmo, c’est la possibilité d’obtenir des valeurs personnalisées aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Grâces à une application web et mobile (légèrement perfectible pour ce qui est des graphiques), on peut accéder en continu à ses propres valeurs et non à 1,7m à 10 mètres de toute habitation, etc… C’est-à-dire à la valeur en dB (bruit) à l’intérieur de son domicile, à la température intérieure et extérieure réelle sur son balcon (pour ses plantes par exemple), à la pression atmosphérique ainsi qu’aux précipitations réelles, toujours devant chez soi, ou du vent qu’il fait à un endroit donné. Sans oublier l’hygrométrie intérieure et extérieure.

Des valeurs utiles pour son chez-soi!

Et c’est tout là l’intérêt. Les valeurs standardisées des stations météo sont certes très précieuses, mais ne tiennent pas compte de la température de son immeuble qui réchauffe son environnement direct ou des valeurs de vent réellement observées… Bref: simplement génial!

Et la mise en fonction?

Disons qu’en passant qu’en passant par l’application iOS, l’ajout de modules supplémentaires se fait sans problème, alors qu’elle est un peu complexe sur Android, puisqu’il semble qu’il failler démarrer entièrement la station… Le tout connecté, l’interface web est superbe.

Le meilleur à venir!

Mais le meilleur réside probablement dans la potentialité de relier ces différents capteurs à HomeKit d’Apple. On peut donc par exemple imaginer des scénarios assez avancés en fonction du niveau de CO2 à l’intérieur de son domicile. En revanche, avec Google Home, nous n’avons pas réussi à le connecter, comme avec d’autres produits…

Bref, les indications de températures, hygrométrie et niveau sonore sont potentiellement très intéressantes pour imaginer le futur de maisons connectées intelligentes capables de rafraichir leur intérieur au bon moment et vraiment en cas de réelle nécessité. On se réjouit de voir la suite… L’internet des objets: ce n’est qu’un début.

Source: Le blog high-tech & telecom de Xavier Studer